* Se prononce comme « mannequin »
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Les avocats doivent évoluer avec leur temps. Stéphane Heusequin entend être un avocat moderne du XXIᵉ siècle, pour toutes les générations. Cela implique :
À propos de moi
Devenir avocat ? L'idée ne m'avait jamais traversé l'esprit lorsque j'étais enfant ou étudiant au secondaire.
J'étais fasciné par l'humain, la société, la philosophie et la science. Étudier le droit ? N'était-ce pas simplement apprendre par cœur des encyclopédies de règles pour ensuite exercer un métier ennuyeux ?
Non, cela ne me correspondait pas. J’ai donc opté pour les sciences criminologiques, une discipline multidisciplinaire qui analyse le comportement humain et la criminalité sous toutes leurs facettes. Ce que j’allais en faire plus tard ? Aucune idée. Mais c’était passionnant, et c'était l'essentiel.
J’ai entamé mes études universitaires en sciences criminologiques à l’UGent en 2007.
C'est au cours de ces études que j'ai découvert pour la première fois le monde du droit (pénal).
Et contre toute attente : cela m’a passionné. Le droit s’est révélé être bien plus que l’apprentissage par cœur de règles. J’ai compris qu’il ne s’agissait pas seulement de «connaître» le droit (personne ne le connaît dans son ensemble), mais surtout de le maîtriser grâce à une réflexion logique, analytique et critique. Et cela s’est avéré étonnamment passionnant.
Mieux encore : je me suis découvert de réelles aptitudes dans ce domaine.
C'est toutefois seulement en troisième année de sciences criminologiques que j’ai réellement attrapé le virus du droit.
J’ai alors eu l’opportunité d’effectuer un stage de trois mois au Tribunal de première instance de Bruges.
Ce choix n’était pourtant pas prémédité. J’avais d’abord postulé pour des stages auprès de la police judiciaire fédérale, mais ils étaient malheureusement tous déjà attribués.
Légèrement déçu, je m’attendais à un stage long et ennuyeux « au tribunal » ...
La vie est une suite de hasards. Impossible de dire où j’en serais aujourd’hui si j’avais obtenu le stage de mon choix.
Quoi qu’il en soit, au printemps 2010, j’ai commencé mon stage au tribunal.
C’est au cours de ce stage que j’ai vu, pour la première fois, « le droit » en action.
J’ai observé l’interaction entre les parties, les avocats et les juges lors des audiences. J’ai eu accès à des dossiers judiciaires et à des jugements. J’ai même eu l’opportunité d’assister à une affaire devant la Cour d’assises, du début à la fin.
Un monde s’est ouvert à moi : le monde de la justice.
C’est à ce moment-là que j’ai pris conscience de l’impact qu’un avocat ou un magistrat peut avoir sur la vie des individus. J’ai compris la différence fondamentale entre étudier le droit et le pratiquer.
C’est alors que j’ai su : c’est cette voie que je veux suivre. Ici, je peux faire la différence. Mon diplôme en sciences criminologiques ne serait pas une finalité, mais un point de départ.
Après avoir obtenu mon diplôme en sciences criminologiques avec distinction en 2011, j’ai donc décidé de poursuivre mes études en droit.
Cependant, mon ambition s’est heurtée à un obstacle auquel je ne m’étais pas préparé :
la fatigue universitaire. Après six années d’études, j’étais épuisé.
J’ai décidé de recharger mes batteries et de prendre une année sabbatique. Je travaillerais un peu, puis réaliserais un rêve qui figurait depuis longtemps sur ma liste de choses à faire : faire un grand voyage autour du monde, seul.
En janvier 2014, cela est devenu réalité, et je suis parti avec mon sac à dos en direction de la Nouvelle-Zélande (dans un avion, bien sûr). Le plan était de rester trois mois là-bas, puis de me rendre en Asie du Sud-Est et, finalement, de revenir en Belgique à l’approche de l’été. Je pourrais ainsi reprendre mes études en septembre.
Les choses ont pris une tournure différente.
« La vie, c’est ce qui se passe pendant que vous êtes occupé à faire d’autres projets. »
Mon année sabbatique est finalement devenue deux. Trois mois en Nouvelle-Zélande se sont transformés en neuf. L’Asie du Sud-Est a été remplacée par le Népal et l’Inde. Le point culminant de mon voyage a été une randonnée de plusieurs semaines jusqu’au camp de base de l’Everest (5 364 mètres d’altitude, pour être précis).
Je suis revenu en Belgique à la fin de 2014, avec un porte-monnaie vide et un sac à dos rempli de souvenirs inoubliables.
J’ai repris mes études de droit en septembre 2015, avec quelques doutes sur moi-même : est-ce que je pourrais encore être « étudiant » ? Passer d’une randonnée dans l’Himalaya à réviser un manuel de Droit de la Sécurité Sociale belge de 687 pages : ce n’était pas évident.
Les doutes étaient infondés, car il ne m’a fallu que peu de temps pour retrouver ma passion pour le droit. En 2017, j’ai obtenu mon diplôme de Master en Droit avec grande distinction.
Cerise sur le gâteau, j’ai reçu la plus grande distinction pour ma thèse sur le droit de la discrimination. Avec ma thèse, j’ai également atteint le top 5 du Prix de la Thèse flamande.
J’ai brièvement hésité à poursuivre une carrière académique et à faire un doctorat, mais mon désir de pratiquer le droit était trop fort.
J'ai échangé le monde de la théorie contre celui de la pratique. La même année, en octobre 2017, j’ai débuté ma carrière à la barre en tant qu’avocat-stagiaire au cabinet Advantius de Maître Dimitri Vantomme à Courtrai.
Advantius et moi nous sommes avérés être une bonne combinaison. Ce n’était pas un « cabinet formel », mais un cabinet d’humains pour les humains, avec une diversité d’affaires et de clients que je n’aurais jamais imaginée.
Mes premiers mois en tant qu'avocat-stagiaire ont été accablants. La transition du monde académique à la pratique a été gigantesque. Pression du temps, responsabilités, rebondissements imprévus, des gens en chair et en os dans une situation difficile qui comptent sur vous… Je n’étais pas préparé à ce qui m’attendait, mais personne ne l’est jamais. Se faire ou se casser.
En persévérant, j’ai surmonté les difficultés et peu à peu, l’incertitude du début a laissé place à un sentiment de satisfaction que je n'avais jamais ressenti auparavant. Je me souviens encore de l’adrénaline que j'ai ressentie la première fois que j’ai réussi à faire sortir quelqu’un de prison.
C’est à ce moment-là que j’ai su que j’avais fait le bon choix.
Après mes trois années de stage, j’ai continué à travailler chez Advantius en tant qu’avocat-associé à plein temps pendant quatre autres années. Mes intérêts et mon attention ont alors évolué du droit pénal vers des domaines plus techniques, tels que le droit civil et le droit des affaires. J’ai constaté que mon esprit analytique et mon sens du détail s’épanouissaient davantage dans ces domaines.
Bien que j’aie adoré travailler pour Advantius, après sept ans, l’envie de créer ma propre voie est devenue trop forte. Je voulais poser mes propres accents, mettre en œuvre ma propre vision et suivre mon propre chemin.
Début 2025, j'ai décidé de franchir le pas et de créer mon propre cabinet.
J’ai emporté avec moi la riche expérience acquise pendant mes études, mes voyages et ma carrière professionnelle chez Advantius.
En même temps, je voulais innover. Mon ambition était de créer un cabinet d’avocats moderne et dynamique du 21e siècle. Cela signifie : une communication moderne, un langage humain, de la transparence et une approche accessible.
L’objectif reste le même qu’il y a sept ans.
Aider les gens. Faire la différence.
Et m’amuser tout en le faisant.
En tant qu’avocat, je m’efforce de trouver une solution juste à votre problème.
Je défends vos intérêts personnels jusqu’au bout, à condition qu'ils ne soient pas en contradiction avec des normes ou valeurs supérieures.
Je refuse les affaires qui me semblent éthiquement indéfendables.
Je préfère donner un conseil honnête plutôt que de gaspiller votre argent et votre temps dans des procédures inutiles.
Une procédure n’est qu’un moyen, pas un objectif en soi.
Lorsque cela est possible, j’essaie toujours de trouver une solution par la médiation.
Un résultat particulier ne peut jamais être garanti, mais je vous donne une évaluation honnête des chances de succès et des risques.
La raison est le guide du droit.
Les émotions sont importantes et méritent reconnaissance, mais elles ne sont souvent pas une bonne base pour résoudre des problèmes juridiques.
Je m’efforce donc d’aborder votre problème de la manière la plus objective et rationnelle possible, tout en restant humain.
Ne tardez pas jusqu'à ce qu'il soit trop tard : prenez rendez-vous dès aujourd'hui.
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